un cent de test

Mercredi 13 mai, 107 km, pour 645 D+ en 5h44.

Aujourd'hui je teste, pas la distance, pas mes jambes, mais un changement de position.

En effet, dimanche lors de la randonnée de l'Ysieux, j'avais les cervicales raides en roulant, raideur qui heureusement s'effaçait et se faisait oublier dès que je descendais de vélo, alors hier j'ai inversé ma potence, qui de plongeante est maintenant montante.

Pour ce test je décide d'emprunter le trajet de la sortie club de dimanche dernier à laquelle étant à Marly, je n'ai bien sur pas participé, bien qu'empruntant une partie de tracé.

Départ par Frépillon après l'habituelle D928, qui me permet de constater en passant à Bessancourt qu'il fait 19° (en cours de route je verrais monter à 22 et redescendre à 18)

Descente de Villers-Adam toujours aussi défoncée, mais il y a quand même possibilité de choisir ou poser ses roues, surtout quand personne ne vient en face, car sur une bonne partie la moitié gauche de la chaussée est plus confortable.

Premier constat arrivé sur la D9, le guidon plus haut, je met plus facilement les mains au creux du cintre. Position que j'adoptais systématiquement à l'heure de mon motobécane il y a quelques décennies, décennies que j'avais en moins bien sur.

La piste forestière semble propre

Piste forestière entre la D9 et Presles

Mais ça ne va pas durer, après le virage à droite à hauteur de l'ancienne route de l'Île-Adam, elle est un peut plus sableuse, gravillonée, mais cela ne cause quand même pas de souci par temps sec..

Descente sur Presles, Beaumont ou je me heute à une route barrée et donc déviation.

Je fais quand même un crochet par le parking du château, en ruines interdites au public, le château, pas le parking ce qui m'offre une seper vue sur l'église de Beaumont. 

Une fois l'Oise traversée, et remontée jusque Boran, où je retraverse direction Gouvieux, je tourne en direction de La Chaussée, où je découvre un autre lavoir

Lavoir de La Chaussée

remis en état par les jeunes de 14 à 18 ans en 1993.

C'est quand même mieux qu'un lavoir tagué par ces même jeunes comme j'en ai malheureusement déjà vu. Il est bien aussi que la ville leur rende hommage par cet affichage.

Peu après le cour d'eau franchi je m'offre un petit raidard qui me fait passer devant une maison d'hôte, dite Cantilienne (de Chantilly). Extérieurement je ne vois pas ce qui la caractérise, et étant dans l'effort, je ne m'arrête pas pour tenter d'en savoir plus.

La D1016 est croisée sans encombre au rond-point, pas trop de circulation à cette heure, tant mieux parce que ça y roule vite, mais aussi les peu de voiture sur la D44 sur laquelle je suis, qui est l'axe principal pour rejoindre Senlis.

Dans Vineuil je croise un cyclo qui me dit quelque chose que je ne comprend pas, du moins je comprend "c'est bien ce que tu fais"... mais je ne vois pas pourquoi :-)

Senlis est un peu pénible à traverser, j'aurais du le faire par les côtés plutôt quen plein centre, je note que les transport intra muros en bus y sont gratuits, bonne initiative. 

Je rejoins à la sortie de la ville le tracé de la randonnée de l'Ysieux, me faisant passer par Villemétrie où je m'attarde un peu

Moulin de Villemétrie

Lavoir ?

Tracé identique à celui de dimanche jusque Plailly, ou là je quitte les flèches, encore au sol, pour prendr ela direction de Vémars, et là, ça grimpe... plus que dimanche, mais cela ne me déplait pas.

Suit Villeron ou je me retrouve sur les traces de la rando, mais pas pour longtemps, je continue en direction de Châtenay au lieu de remonter sur Marly, puis Mareil, Villiers le Sec et Attainville.

Arrivé à Bouffémont j'ai l'agréable surprise de voir que le revêtement de la côte est tout neuf, et ça rend bien... Ensuite plus qu'à regagner saint-Leu et constater avec joie que le compteur m'annonce une moyenne de 20.1 pour ces 107 kilomètres... Donc 3 sorties de suite à plus de 20.

Test de position concluant, aucune raideur dans la nuque et même mieux, moins de fourmillements dans les doigts. Gros gain en confort.